Exploiter une usine de production d’eau potable coûte avant tout cher en énergie. En cause notamment, les pompes qui captent et acheminent l’eau. Elles comptent parfois pour 50 % du coût de fonctionnement d’une usine. D’où l’importance de surveiller de près le rendement des équipements de pompage.
Collecte, production, distribution et traitement, les services publics de l’eau coûtent cher. Notamment parce qu’ils doivent fonctionner 24/24 et 7/7. Ils consomment ainsi beaucoup d’énergie. Plus que n’importe quel autre poste dans les collectivités. Et poussées par la loi sur la Transition énergétique pour la croissance verte, ces dernières ont été amenées à développer des stratégies d’optimisation basées notamment sur l’efficacité. Comprenez, la volonté de rendre toujours le même service public de l’eau en consommant moins d’énergie.
Dans ce cadre, les experts proposent de réfléchir à différents leviers. L’architecture du réseau, par exemple, devrait être conçue pour favoriser l’alimentation gravitaire. Car le pompage de l’eau représente, à lui seul, 70 % de la facture énergétique d’une station de production d’eau. D’où l’importance également de dimensionner au mieux les pompes. Même si l’usure naturelle et l’évolution des besoins en débit et en pression d’une collectivité peuvent rendre le dimensionnement initial obsolète. Pour éviter cela, il est aussi conseillé par les experts de s’assurer du bon rendement des équipements de pompage.
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Pour améliorer le rendement des équipements de pompage, il suffit parfois de revoir la façon dont les pompes sont utilisées. C’est l’exemple d’une collectivité en Île-de-France qui a ainsi réalisé 25 % d’économies sur sa facture énergétique. D’autres fois, il est conseillé de planifier une maintenance ou même un remplacement.
Un accompagnement peut être mis en place sur ces préconisations. Pour aider la collectivité à choisir celles à appliquer ou non en fonction de leur impact financier et du budget, pour établir un plan d’action ou encore pour gérer les interventions et les achats, le cas échéant. Les travaux de remplacement des pompes, de mise en place de variateurs de fréquence ou encore les travaux hydrauliques peuvent être organisés par le groupe Saur pour faire bénéficier la collectivité d’une expertise précieuse et de tarifs compétitifs.
Si la maîtrise du prix de l’eau produite est le premier bénéfice direct à tirer du recours à de nouvelles technologies pour le traitement des eaux, la solution Riventa permet aussi aux collectivités d’optimiser la gestion de leur patrimoine, les pompes faisant figure d’équipements à la fois onéreux et critiques. Elle leur assure également une continuité de service et même, une diminution de leur empreinte carbone. Une belle façon, finalement, de réduire les coûts tout en produisant mieux.
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